Chers Jumpiens, chères Jumpiennes,
Cet édito est un peu spécial pour moi car c’est le dernier que j’écrirai en tant que rédactrice en chef du Jump.
Chers Jumpiens, chères Jumpiennes,
Cet édito est un peu spécial pour moi car c’est le dernier que j’écrirai en tant que rédactrice en chef du Jump.
Ce n’est pas nouveau : nous ne sommes pas égaux face aux changements climatiques.
Copenhague 2009: échec. Voilà ce que nous avons en mémoire : aucun accord signé entre les parties, peu d’ambition, une société civile abattue et, surtout, une rupture de confiance.
Une action efficace contre le changement climatique est-elle possible sans une remise en question du cadre productiviste et consumériste ?
Une meilleure gestion des déchets d’équipements électriques et électroniques est aujourd’hui indispensable, tant pour des raisons environnementales et sociales qu’économiques.
« Au départ, on s’est posé la question de comment consommer en accord avec nos valeurs.
Depuis 2010, le désinvestissement est devenu l’un des enjeux de la lutte environnementale.
C’est un fait, le dérèglement climatique touche particulièrement les populations les plus pauvres et les plus fragiles : sécheresses, inondations, ouragans ou cyclones, ces phénomènes se multiplient.