• à UCL | nov

    Conférence AGP | Quels enjeux pour la COP21 ? | 25 nov, 18h30

    ecoloj_lln

    L’événement est annulé.
    A quelques jours de l’ouverture de la COP21 à Paris, les Étudiants Libéraux LLN, les edH, Comac LLN et écolo j LLN réunis au sein de l’AGP (Assemblée des groupes politiques) organisent un débat politique sur le climat le mercredi 25 novembre à 18h30 Louvain-la-Neuve. Nous aurons le plaisir d’accueillir Patrick Dupriez (Co-président d’Ecolo) pour écolo j, Cédric du Monceau (Échevin de l’urbanisme à O-LLN et ancien président du WWF) pour les edH et Raoul Hedebouw (Porte-parole du PTB) pour le Comac. Le débat sera suivi de la projection du film « This changes everyting » de Naomi Klein à 20h30 au Studio 11.

    Les Étudiants Libéraux LLN, les edH, Comac LLN et écolo j LLN réunis au sein de l’AGP, l’assemblée des groupes politiques, ont le plaisir de vous inviter à leur conférence sur le climat.

    Trois thèmes principaux seront abordés:

    – COP21 à Paris: quels enjeux ?
    Alternatives au changement climatique: défi collectif ou individuel ?
    Croissance durable des pays du Sud

    Pour nous éclairer, des personnalités de courants politiques différents seront présentes pour débattre de ces questions. Nous aurons le plaisir d’accueillir :

    Pour écolo j : Patrick Dupriez, Co-président d’Ecolo.
    Pour les edH : Cédric du Monceau, Echevin de l’urbanisme à O-LLN et ancien – président du Pour Comac : Raoul Hedebouw, Porte-parole du PTB.

    Quand : Le mercredi 25 de 18h30 à 20h
    : Auditoire SC02 (Place des Sciences, Louvain-la-Neuve)

    Evénement Facebook ici

    Après avoir assisté au débat, nous vous invitons également à la projection du film « This changes everyting » de Naomi Klein à 20h30 au Studio 11. Plus d’infos ici.

    Pour la coordination d’écolo j LLN,
    Manon et Delphine, Coprésidentes

  • à ULB | oct

    Lettre ouverte au CA de l’ULB | Désinvestissons !

    ecoloj_ulb

    Lettre ouverte aux membres du Conseil d’Administration de l’ULB pour demander le retrait des investissement de l’université dans les énergies fossiles.

    Cher.e.s membres du Conseil d’Administration de l’ULB,

    En décembre prochain aura lieu la conférence climatique à Paris et énormément d’acteurs de notre société se mobilisent pour réclamer une action forte pour le climat. Pourtant, nous avons récemment appris que l’ULB sous-traite la gestion de son fond de pension à AG Assurances, sans aucune clause sur la destination des placements. De l’argent de l’ULB est donc très probablement placé dans le secteur des énergies fossiles sans aucune remise en question.

    Les changements climatiques ne vont qu’accentuer les inégalités et les injustices au niveau mondial puisque c’est bien dans les pays du Sud que les catastrophes et les changements vont être les plus douloureux. Une situation d’autant plus injuste que ce sont les pays du Nord qui sont les premiers responsables. Ces changements climatiques ont déjà des effets concrets actuellement et ce sont déjà 22 millions de personnes en 2013 qui ont été contraintes de quitter leur territoire en raison de changements environnementaux, devenant des réfugiés climatiques.

    Nous sommes convaincus qu’en tant qu’étudiants, mais surtout en tant que citoyens, nous avons le devoir d’interpeller nos dirigeants, et dans le cas présent le Conseil d’Administration de l’ULB, sur la situation de dépendance dans laquelle nous nous sommes englués depuis trop longtemps vis à vis de ces énergies polluantes.

    De plus, il est désormais possible de démontrer qu’un retrait des investissements dans les énergies fossiles ne va pas affecter la rentabilité des placements. En outre, ces investissements représentent un risque d’autant plus grand que de futures régulations imposées par les états sur les émissions de gaz à effet de serre sont à prévoir. Les placements dans les énergies fossiles sont résolument ceux du passé et l’ULB pourrait s’en passer sans impact substantiel sur la rentabilité de ses placements.

    C’est pourquoi nous voudrions vous encourager à poursuivre dans le sens de l’éco-responsabilité et vous demander d’ajouter des clauses très claires sur ces fonds de pensions, afin de retirer les investissements dans les énergies fossiles. L’ULB doit prendre son rôle d’acteur dans la lutte contre les injustices climatiques au sérieux et agir pour préserver notre planète pour les générations futures.

    L’ULB s’inscrirait ainsi dans la nouvelle vague des institutions éco-responsables, au même titre que 180 autres organisations dans le monde telles que l’Université d’Oxford, l’Eglise de Suède, ou encore la ville de Seattle. C’est maintenant au tour de la Belgique d’entrer dans cette dynamique de désinvestissement fossile, avec peut-être pour notre université, le très flatteur statut de pionnière.

    Nous vous invitons chaleureusement au débat que nous organisons avec Bernard Bayot de Financité et Mathias Balcaen de Greenpeace ce jeudi 22 octobre intitulé « L’ULB investit dans les énergies fossiles ?!» à 18h au H1302.

    Merci d’accuser réception de ce courrier, Dans l’attente d’une réaction positive de votre part,

    Le cercle écolo j ULB.


    Personnes de contact :
    Clara Gruner, coprésidente cercle écolo j ULB , ulb@ecoloj.be – 0472 63 79 05
    Hugo Périlleux Sanchez, coprésident cercle écolo j ULB, ulb@ecoloj.be – 0478 42 38 68

  • à ULB | oct

    ULB investit dans les énergies fossiles ?! | 22 oct, 18h | Conférence
    ecoloj_ulb

    #GoForClimateJustice | #FossilFreedesinves_ulb_flyerA6
    Alors que la conférence sur le climat à Paris approche, il semblerait que l’ULB investisse toujours dans les énergies fossiles notamment via ses fonds de pension. L’ULB ne devrait-elle pas retirer ces investissements qui compromettent le sort des générations futures ?

    Conférence/débat le jeudi 22 octobre à 18h au local H1302 – entrée gratuite

    Plusieurs intervenants viendront parler du désinvestissement des énergies fossiles via les fonds de pension de l’ULB pour expliquer la situation, ce qu’on peut faire concrètement et débattre de la question. écolo j ULB accueillera :

    • Bernard Bayot – Financité
    • Mathias Balcaen – Greenpeace
  • au Fédéral | sept

    Conférence internationale
    sur le désinvestissement des énergies fossiles à Paris | 1 sept
    logo_ecoloj_transparent_WEB_rectangle

    desinvest02À l’heure où l’on ne peut nier une visibilité sans cesse accrue de l’impact néfaste du dérèglement climatique, un épatant mouvement international situé à la croisée du militantisme climatique et financier vit le jour : la campagne de désinvestissement des énergies fossiles.

    Afin d’informer et de sensibiliser les divers acteurs de notre société – de l’étudiant aux entreprises, en passant par les militants – à propos de ces combustibles responsables de près de 80% des émissions de GES mondiaux, les verts européens et la fondation américaine 350.org conviaient ce 1er septembre un large panel d’experts à Paris afin, d’une part, d’informer et de rappeler l’existence des alternatives à faible carbone et sans carbone; et d’autre part nous exposer les risques inhérents à notre dépendance envers les énergies fossiles qui, nous le savons, constituent une menace de taille dans la lutte contre le développement durable, la pauvreté, et mettent de la sorte la pérennité de notre civilisation en jeu.

    À Cancun, lors de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique en 2010, 194 nations s’étaient engagées à tout mettre en oeuvre pour stopper l’augmentation de la température à 2° par rapport aux niveaux de l’époque préindustrielle. Les récentes études réalisées à propos des combustibles fossiles sont sans appel : si l’ensemble des réserves étaient consommées, nous dépasserions inévitablement le seuil des 2°, seuil fatidique au-delà duquel les conséquences seraient irréversibles pour l’avenir de notre planète.

    L’argument économique est également fort préoccupant. En effet, si ces réserves venaient à ne plus être exploitées, elles perdraient de facto de leur valeur, provoquant de fortes répercussions sur le marché financier dûes aux pertes subies par les entreprises spécialisées dans les énergies fossiles (entre 40 et 60% de diminution de la valeur boursière selon une étude de HSBC), mais également pour les autres entreprises, banques, fonds de pension et fonds universitaires qui y auraient investi.

    Les énergies fossiles sont révolues, c’est une évidence. En amont de la COP21, il est désormais indispensable que les grands actionnaires excluent de leurs portefeuilles les sociétés engagées dans le financement des énergies fossiles et se réorientent dès aujourd’hui vers les énergies renouvelables afin d’assurer un modèle socio-économique durable pour les générations à venir.

    Adrien Volant

  • à ULB | fév

    DSC_0099Retour sur… | « Climat, les négociations de la dernières chance ? »

    ecoloj_ulb

    Dans le cadre de la COP21 (conférence des parties) qui a lieu fin d’année à Paris, écolo j a décidé de mettre en place plusieurs actions de sensibilisation et de mobilisation sur les différents campus afin d’attirer l’attention d’un large public sur les problèmes climatiques actuels et futurs.

    Devant l’urgence de voir émerger un accord ambitieux lors de la COP de Paris, la conférence débat, organisée par écolo j ULB, a rassemblé, le 11 février 2015, dans l’auditoire H1302 au Solbosh, plus d’une centaine de personnes. Le public, majoritairement étudiant, est venu écouter l’exposé de plusieurs invités : Frank Pattyn, professeur au laboratoire de glaciologie de l’ULB, Dominique Perrin, négociateur à la conférence de Lima pour l’agence wallonne de l’air et du climat et Brigitte Gloire, présente à Lima pour Oxfam-Solidarité.

    Le premier volet du débat portant sur l’expertise scientifique, a présenté les nouvelles données issues des derniers rapports du GIEC. Frank Pattyn s’est appuyé sur des preuves scientifiques et plusieurs graphiques pour souligner que les causes anthropiques des changements climatiques ne sont pas négligeables. L’augmentation de la température, en lien avec l’augmentation de la concentration en CO2 dans l’atmosphère, pourrait avoir des conséquences désastreuses à long termes, même dans les scénarios les plus optimistes.

    Le second volet présentant les négociations climatiques, a apporté plusieurs perspectives pour la COP21 de Paris. Dominique Perrin et Brigitte Gloire, présente à Lima en 2014, ont livré leur expériences sur la dernière conférence des parties et ont ouvert le débat sur un autre aspect des conséquences qu’induisent les dérèglements du climat : l’injustice climatique que rencontrent certains pays du tiers monde, notamment lors de catastrophes naturelles.

    Pour clore l’exposé, Pauline Delgrange est venue parler du Climate Express et des actions que l’organisation propose à l’occasion de la conférence de Paris en 2015 pour mobiliser un maximum de citoyens lors de l’événement. Ensuite le public a eu l’occasion de poser des questions aux intervenants et de poursuivre les débats autour d’une bonne bière fraîche !

  • à ULB | fév

    Climat, les négociations de la dernières chance ?
    11 février, 18:30 | Conférence

    ecoloj_ulbConferenceClimat_AfficheA6_coul

    Nous arrivons à un moment décisif pour les négociations climatiques. En effet, l’agenda adopté à Copenhague en 2009 prévoit la ratification d’un accord pour 2015. Le climat joue donc son avenir à la conférence de Paris en décembre prochain.

    La conférence sur le climat de Lima s’est achevée le 14 décembre 2014 à Lima, elle avait pour objectif d’entamer le travail pour la conférence de Paris.

    D’autre part, le Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC) a sorti son cinquième rapport quelques mois avant la conférence de Lima, réaffirmant la sévérité et le caractère anthropique des changements climatiques. La pression est d’autant plus forte sur les différentes parties pour arriver à un accord de réduction effective des émissions des gaz à effet de serre.

    écolo j ULB vous invite à une conférence où nous essayerons de revenir sur les questions suivantes :
    Quels sont les grands apprentissages du dernier rapport du GIEC ?
    Qu’a-t-on décidé lors de la dernière COP [1] à Lima ?
    Quels sont les enjeux à Paris ?
    Et le plus important, quel rôle pouvons-nous jouer ?
    Une mobilisation s’organise autour du projet du Climate Express ; comment peut-on s’impliquer ?

    La conférence comportera trois volets avec trois intervenants, avec des points de vue différents :

    Un volet société civile avec Brigitte Gloire, présente à Lima pour Oxfam-Solidarité.
    Un volet scientifique : Quelles sont les instructions du dernier rapport du GIEC ? Par Frank Pattyn, professeur au Laboratoire de Glaciologie à l’ULB.
    Un volet sur les négociations climatiques : Où en sont les négociations internationales sur le climat ? Quelles sont les perspectives pour la conférence de Paris ? Par Dominique Perrin négociateur à la conférence de Lima pour l’Agence Wallonne de l’Air et du Climat.

    Informations pratiques :
    Mercredi 11 février à 18h30
    Campus du Solbosch (ULB) – auditoire H 1.302
    Entrée libre
    Un petit verre est prévu à la fin de la conférence ! (prix démocratiques)

    Au plaisir !
    L’équipe d’écolo j ULB

    Notes: [1] Chaque année l’ensemble des pays des Nations Unies se réunit au sein de la COP (Conférence des Parties) pour négocier un accord global pour limiter le réchauffement climatique