Immigration : À découvrir, lire, voir…

À lire :

Si la lune éclaire nos pas

« Si la lune éclaire nos pas » de Nadia Hashimi

Alors que Kaboul est aux mains des talibans, Fereiba et ses trois enfants se voient obligés de fuir l’Afghanistan. Ils prennent ensemble la route pour Londres avec le peu d’argent que Fereiba a pu mettre de côté. Commence alors un périple aussi interminable que déchirant. Bien que ce roman ait été écrit en 2016, il semble plus d’actualité que jamais. Il nous rappelle, avec dureté parfois, les épreuves traversées par des millions de gens pour une vie meilleure dans un pays où iels ne sont pas les bienvenu·es. Malgré tout, il offre aussi un message d’espoir en l’humanité.

– Lecture conseillée par Karelle Marneffe membre d’écolo j

 

 

 

Petit pays | Livraddict

« Petit pays » de Gaël Faye

Dans ce roman inspiré de sa vie, Gaël Faye nous raconte l’histoire de Gaby, un jeune garçon vivant au Burundi au début des années 90. Gaby semble vivre une vie paisible avec ses amis à Bujumbara. […] Mais quand le génocide frappe sa famille, Gaby ne peut plus fermer les yeux. Un récit bouleversant sur le génocide rwandais et l’innocence d’un enfant qui disparaît peu à peu jusqu’à se retrouver forcé à fuir son pays et sa famille. TW : Ce livre relate (parfois en détails) des faits violents ayant eu lieu pendant le génocide des Tutsis.

– Lecture conseillée par Karelle Marneffe membre d’écolo j

 

 

 

 

À voir : 

Lhistoire de Souleymane » de Boris Lojkine

L'Histoire de Souleymane - Film 2024 - AlloCiné

 

 

 

 

 

 

 

 

« Cash investigation – À qui profite l’immigration ? » disponible gratuitement sur YouTube ou sur le site de France Info

 

À écouter : 

« À leurs coprs dépendants », un documentaire sonore (podcast) réalisé par Anaïs Carton & Pauline Fonsny

Comme un appel à la liberté, ce documentaire met en lumière la réalité meurtrière des centres fermés et la nécessité d’y mettre un terme. Souhail, Rabia et Mado racontent la violence des politiques migratoires belges. L’un, depuis l’intérieur du centre fermé, évoque les violences physiques et psychologiques. L’autre, depuis l’extérieur, relate l’angoisse du risque quotidien de l’arrestation. Et la dernière, suite à sa « libération », raconte la peur, la colère et l’espoir.